Construire un paysage à l’aquarelle

lundi 18 août 2025

Parc du Charmois, un matin de fin d’été

. . Les couleurs des grands arbres du fond sont déjà celles de l’automne. 

J’ai utilisé un papier aquarelle Fabriano à grain satiné (assez lisse) – format 31 X 41 cm. 

J’ai choisi un format vertical pour accentuer les arbres du fond. 

1°) Je pose rapidement tous les éléments importants du paysage ( et je ne traite pas le paysage par secteurs) 

2°) J’accentue les points autour desquels je vais organiser le paysage. 

3°) J’introduis les zones les plus foncées en masses. 

4° ) Je place les troncs, quelques détails signifiants, les ombres au premier plan.  

J’ai travaillé une heure I/2.   

Claire B 

Texte et Photos : Claire Brunner

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David Hockney est né en 1937 à Bradford, dans le Yorkshire, au nord de l’Angleterre et, aujourd’hui, il est l’un des plus renommés parmi les artistes vivants. Sa peinture est réalisée non seulement avec des techniques traditionnelles, telles que l’huile, le fusain et l’aquarelle, mais également en utilisant des moyens d’expression modernes, tels que la photographie numérique et l’IPad. Le fil conducteur de son œuvre est la figuration, comprenant des portraits et des paysages, sur lesquels il a innové, en employant des couleurs inattendues, des perspectives multiples et une composition qui permet de représenter « le temps qui passe ».

La section initiale de l’exposition, au rez-du-bassin de la Fondation Louis Vuitton, traite de sa production entre 1955 et 1998.

Après avoir commencé ses études à Bradford, où il a peint son premier tableau intitulé « Portrait de mon père » (1955), l’artiste est parti à Londres pour intégrer le Royal College of Arts. Durant cette période, il a produit une série de graffitis dans lesquels il exprime son homosexualité.

Parti de Londres pour la Californie en 1964, il a habité à Los Angeles, où il a exploré le pop-art, créant des toiles « géométriques » aux couleurs vives, comme en témoigne sa célèbre série des « piscines ».

À cette époque, il a commencé à suivre l’évolution des outils de communication, utilisant des Polaroids pour préparer ses projets. Il peignait toujours des portraits, mais la représentation de la nature a progressivement pris une place plus importante dans son œuvre. Il a alors réalisé le « Bigger Grand Canyon » (1998), une œuvre monumentale, à partir d’une série de photographies prises sous différents angles, travaillées sur 60 petites toiles et assemblées, pour créer une œuvre finale mesurant  7,44m.

La suite de l’exposition présente les 25 dernières années de son œuvre, débutant par les toiles où il représente, avec des couleurs éclatantes, son Yorkshire natal, où il est revenu s’installer en 1999.

En 2019, après avoir admiré la tapisserie de Bayeux lors d’un voyage en France, David Hockney a décidé de s’établir en Normandie, où il résidera pendant 4 ans. Il s’y trouvait durant le confinement lié à l’épidémie de Covid-19, mais cela ne l’a pas empêché de poursuivre sa passion pour la peinture. Grâce à son iPad, il a saisi les variations de couleurs du paysage environnant au fil des saisons pour créer une œuvre monumentale, suivant le modèle des rouleaux chinois. 

 Grâce à la luminosité de l’écran de son iPad, il a créé aussi la série des ciels nocturnes avec la lune et les étoiles, qui est exposée dans une salle faiblement éclairée de l’exposition.

Au dernier étage de l’exposition, les visiteurs peuvent observer un « dialogue » entre lui et les maîtres de la peinture qu’il admirait, tels que Fra Angelico, Claude le Lorrain, Cézanne, Van Gogh, Picasso, etc.

Des installations vidéo musicales qui permettent de découvrir ses collaborations dans le domaine de l’opéra sont également présentes à ce niveau de l’exposition.

Sa dernière production, faite à Londres, où il vit en ce moment, termine l’exposition. Il a voulu y ajouter son dernier autoportrait réalisé.

 

VOIR TOUTES LES PHOTOS DE L’EXPOSITION ICI

Photos : Bertille von Hatten

 

Voir aussi :

Visite à l’exposition « David Hockney 25 » Partie I

 

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Le 7 août dernier, Dominique Pouille, présidente de l’AAAHV, a organisé une visite des adhérentes de l’association à l’exposition « David Hockney 25 » , à la Fondation Louis Vuitton à Paris. 

6h : le groupe de 27 personnes, composé par des adhérents de l’AAAHV et par d’autres amatrices d’art, est parti de Vandœuvre, dans un car spécialement affrété pour l’occasion. Au moment du départ, un document* a été distribué à chacun, contenant l’histoire et les activités de la Fondation Louis Vuitton, ainsi que des informations biographiques sur David Hockney et son parcours artistique, offrant ainsi un aperçu de l’univers de l’artiste et du lieu de l’exposition.

8h30 : le car s’est arrêté près de Reims où un « pique-nique matinal » a été offert par Dominique Pouille, avec du café et un délicieux gâteau qu’elle-même avait préparé.

9 h 45 : le trajet a continué sans problème jusqu’à l’entrée de Paris, où un accident a ralenti la circulation, sans pour autant compromettre le reste du programme.

11 h 30 : dès leur arrivée à la Fondation, les participants du voyage ont été séparés en deux groupes et pris en charge pour la visite guidée de 1h30, qui a permis de découvrir l’exposition regroupant 400 œuvres de l’artiste, réparties sur les 4 niveaux du bâtiment futuriste de la Fondation Louis Vuitton.

Sur ce site, un article à propos du contenu de l’exposition peut être vu ICI.

14 h 30 : après la visite de l’exposition et le passage par la librairie, le groupe a pris le car en direction d’un restaurant situé sur l’avenue Kléber, à proximité de l’Arc de Triomphe. La décoration vintage, avec des objets anciens tels que des postes de radio, des téléphones et des pendules, le service qui a suivi la minutieuse organisation préalable de la présidente de l’AAAHV, la bonne qualité des plats style bistrot, ont permis aux participants de cette excursion artistique de passer un agréable moment.

16 h : Le retour a commencé par un petit city-tour de Paris : l’Avenue des Champs-Élysées, la Place de la Concorde avec son obélisque, en passant par le Jardin des Tuileries, le Louvre, la Conciergerie et les quais de la Seine, en offrant un aperçu de l’église de Notre-Dame et de la tour Eiffel, ainsi que des installations de Paris Plage (vidéo réalisée à partir des photos de Bertille von Hatten) :

 18h30 : Déjà sur la route, une pause de 45 minutes a été faite à mi-parcours pour permettre au groupe de se rafraîchir et faire quelques emplettes. Avant le départ, Claire Brunner a adressé à Dominique Pouille les remerciements des participants pour la préparation et la réalisation de cette magnifique sortie culturelle.

20 h 30 : la nuit tombait doucement et le car sillonnait les routes de la Meuse, se rapprochant de la terre de Stanislas. Le ciel, d’un azur sans faille toute la journée, s’est paré alors de mille couleurs, pour offrir aux voyageurs deux spectacles : d’un côté, un coucher de soleil éblouissant et de l’autre, l’apparition de la Pleine Lune dans toute sa splendeur. Comme sur les tableaux de David Hockney !

22 h : L’arrivée à Vandœuvre a clos cette journée remplie de beauté et de beaux échanges. 

 

*document rédigé par Dominique Pouille et Claire Brunner

Vidéo de l’exposition envoyée par Catherine

Photos : Bertille von Hatten , Catherine et Martine Ferry

 

VOIR D’AUTRES PHOTOS DE CETTE JOURNÉE ICI

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« En 1863, lors d’un déplacement dans l’Allier, Napoléon III visite la filature des Grivats, près de Vichy. La société fabrique la « toile des Grivats », une toile de coton. L’impératrice Eugénie repart avec des valises remplies de ce tissu qui prendra le nom de Vichy mis plus tard à la mode avec la robe en Vichy de Brigitte Bardot. J’avais acheté la même en Vichy rose ! » (source magazine 100 idées)

Colette Laville-Dereau

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Après une année de dur labeur, pour la dernière séance avant les vacances, le groupe du cours « Dessin et Peinture » dirigé par Dorota Szymanska avait prévu un pique-nique au Parc du Charmois. La météo a compromis ce projet, mais cela n’a pas découragé l’équipe :

« J’ apporte une petite pastèque (bio 😁), gressins, fromage fouetté (aïe ! Sans ail 😁), et mix’apero. Brigitte apportera petit pâté en croûte et jus d abricot et limonade ! »
« De mon côté j’ai des petites choses pour accompagner un vin pétillant et une tarte aux groseilles ».
« J’apporte aussi des couverts en bambou, assiettes et gobelets cartons »
« J’apporte une tarte au citron et du thé. »
« Vin et gâteau au chocolat de ma part »
« J’apporterai quelques amuse-gueules et des serviettes en papier. »

Après une séance dédiée à la « mésange » de couleurs à la Ferme, les saveurs ont pris le relais. Oui, car les artistes se sont retrouvées autour de la table, dans une ambiance joyeuse chez Lucie, qui a gentiment mis sa maison à disposition pour la réunion.  La conversation a été riche en découvertes, à commencer par la provenance de nos parents (Pologne, Italie, Slovénie, Allemagne, Espagne, Brésil..et Lorraine, bien sûr!), l’échange des tuyaux à propos des artisans locaux (un déménageur super-efficace, une couturière magicienne), des expériences avec les brocantes et des projets de vacances. Ensuite, en se souhaitant un bel été, on s’est dit « À septembre! »…lorsque les couleurs reprendront leurs droits.



 

Texte : Maria Augusta
Photos : Dorota, Lucie, Marie-Antoinette

 

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À l’occasion d’une cérémonie émouvante, Mme Dominique Pouille, présidente de l’AAAHV, Mme Michèle Donati, vice-présidente, M. Patrice (Manu) Donati, Maire de Vandoeuvre, ainsi que des proches, des amis, des anciens élèves et des membres de l’association, ont entouré Mme Véronique Michel, la fille de Mme Françoise Michel, lors du vernissage de l’exposition qui lui était dédiée, qui s’est déroulé le 16 juillet à La Ferme du Domaine du Charmois, à Vandoeuvre. 

Lors de son discours, Mme Dominique Pouille a abordé les parcours personnel, professionnel et artistique de Madame Michel. Mme Michèle Donati a évoqué ses souvenirs personnels liés à son cours de dessin tandis que M. Patrice (Manu) Donati a souligné l’importance de son œuvre pour la ville de Vandœuvre. M. Jean Ehrhart, ancien président de l’AAAHV,  a rappelé l’excellence de son engagement en tant qu’enseignant d’arts plastiques au sein l’association. 



Avec cette exposition, qui comporte plus de 70 tableaux de Madame Michel, ses enfants, Véronique et Vincent, rendent aussi hommage à leur père, M. Henri Michel, qui a été enseignant-chercheur à Nancy. Le couple, en plus de leurs engagements professionnels, a joué un rôle actif dans l’intégration des étudiants étrangers dans la vie en France. M. Guilherme Alves,  ancien étudiant brésilien et désormais ami de la famille, a pu en témoigner lors du vernissage, tout comme M. Blaise Djoffon, du Togo. M. Jean-Louis Nicolle, cousin de Véronique Michel a également pris la parole pour rendre hommage au couple.

Voici un aperçu des personnes présentes au vernissage : 





La vidéo qui offre un aperçu général des œuvres de l’exposition a été réalisée par M. Jean-Louis Nicolle, que nous remercions:

(Cliquez sur l’image ci-dessous pour accéder à la vidéo)

L’Est Républicain a publié aujourd’hui un article au sujet de l’exposition : 

L’exposition restera ouverte toutes les jours de 14h à 18 h jusqu’au 27 juillet 2025.

Ferme du Domaine du Charmois (salle Koskowitz)

2, Avenue du Charmois ou Allée Jean Legras (parking)

54500 Vandoeuvre les Nancy

VENEZ NOMBREUX !

 

Photos : Bertille Von Hatten et Maria Augusta Daroux

 

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« Les délices glacés existent depuis des milliers d’années. Dans la Chine ancienne, vers 200 avant J.C. ont mélangé du riz à de la neige pour obtenir une sorte de sorbet. Les Romains, adeptes de la luxure font parvenir de la neige des Alpes pour refroidir leurs fruits au miel. Ce luxe est seulement accessible aux plus riches. Au 17ème siècle la première véritable crème glacée est créée en Italie. Au 19ème siècle les premiers marchands ambulants font leur apparition ». (Source : magazine Daphne’s).

Vous souvenez-vous de la clochette annonçant l’arrivée du marchand dans votre quartier ? Cela existe-t-il encore dans certaines villes ou quartiers ? Dites moi . . . 

Colette Laville-Dereau

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  •  15/07 : Suite du cours sur la couleur : « Transparence d’un verre ». Travail sur la transparence et le camaïeu des couleurs. Matériel : peinture acrylique, toile.
  • 22/07 : Poursuite du thème « Transparence d’un verre »
  • 23/07 : ANNULÉ (Modèle vivant grand format. Matériel : crayon, fusain, papier, etc. Pour ce dernier cours de l’été, la séance se terminera par un pique-nique convivial au parc !)

Bon à savoir : Le cercle chromatique est un outil précieux en peinture. Pour réussir une harmonie, débutez avec trois teintes principales. À partir de là, deux grands principes d’harmonies de couleurs s’offrent à vous :

– Les harmonies monochromatiques /réalisées autour d’une seule couleur de base.

– Les harmonies de contraste

  1. Contraste chaud-froid
  2. Contraste complémentaire

Le nouveau cycle va commencer le mardi 2 septembre avec le créneau horaire 14h-16h30.



Texte et photos : Dorota SZYMANSKA

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