Circuit touristique dans le Doubs

Ce diaporama a été réalisé à partir de photos prises lors de deux voyages d’une semaine chacun en Franche-Comté. Il ne concerne que le département du Doubs. Un autre, sur le département du Jura sera présenté ultérieurement.

Les commentaires accompagnant ce diaporama sont le résultat d’une recherche sur Internet. Ils ont été volontairement limités à une page chacun.

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Ludwig s’est effacé avec son duo si peu sympathique. Mais la vie continue au parc Pouille avec un nouveau témoin : Margaux. La plume est à toi, chère amie !!

Gudule

Du balcon d’un duplex situé tout en haut d’un immeuble à côté du Parc Pouille, un chat birman aux yeux couleur saphir observe la ville. Son nom est Faust. Selon sa maîtresse, une bourgeoise aux faux airs d’aristocrate, son pedigree remonte sur plusieurs générations, il ne mange que des croquettes au saumon et a même un « personal » toiletteur pour s’occuper de son pelage… Caché dans son sac, elle l’amène voir des conférences, des concerts, des spectacles, ce qui fait de lui, selon elle, un chat branché et savant.

Néanmoins, pour ses semblables, les autres félins du quartier, c’est une toute autre histoire. Ils le trouvent snobinard et bizarre et se demandent : « C’est quoi ce chat qui ne mange pas de souris, ne traîne pas avec les autres matous du coin et fuit les bagarres ? Une « poule mouillée », c’est sûr !  Mais cela, personne n’oserait lui dire en face. Car Faust a quand même deux amis de poids dans la communauté : d’un côté Minette, la chatte de rue au grand cœur, et de l’autre, Fantôme, un mystérieux chat qui hante la bande de Francis et domine le haut des arbres du parc la nuit, de la même façon que Francis fait la loi sur les allées et trottoirs.

Et ainsi tout allait bien pour Faust jusqu’au moment où ce satané virus est entré dans la vie de sa maîtresse. Quelle cruauté ! Elle, une dame de haut rang, obligée de jouer des coudes pour s’approvisionner et même de s’occuper toute seule de ses cheveux ! Heureusement, grâce à lui, elle pouvait se promener un peu autour du parc, et cela intéressait Faust au plus au point. Car, lors de ses sorties il avait l’espoir de rencontrer à nouveau celle qui a fait chavirer son cœur : Hulotte !

Elle était tellement gracieuse cette petite chatte…jolie, cultivée et raffinée, Minette disait qu’elle savait même écrire des poèmes…quand il la voyait, il miaulait, aguicheur, soulevait sa belle queue soyeuse, lui lançait des regards pénétrants avec ses yeux saphir, s’épanchait  à étaler sa vaste culture… Mais rien, aucune réaction, visiblement Hulotte n’était pas intéressée. Mais pourquoi ? Comme les autres, trouvait-elle qu’il était trop snob ? Ou peut-être quelqu’un d’autre habitait déjà son cœur ?

Hélas, ce soir-là il a eu une réponse à ses questions. De son balcon, il a entendu les aboiements du molosse, et ensuite il a vu sa chère Hulotte entrer dans le parc et grimper sur le marronnier, accompagnée par un autre chat. En les voyant ensemble, il a tout compris. C’était le chat de madame Huant qu’elle aimait ! Effondré, il a tourné le dos à la scène et est entré se coucher…sans savoir que la nuit lui réservait encore pas mal de surprises !

Écrit par Margaux

Suite => Épisode 20

Tous les épisodes du « Chat de Madame Huant » ICI

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Au bord de l’étang d’Agnès DAGRENAT

Technique :  Pastel sec sur fond mouillé à l’alcool dilué

Dimension : 30cm x 40cm

« d’après une de mes photos (Creuse) »

Agnès Dagrenat

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Billets d’humeur et d’humour d’une confinée

Ils disent « pendant le confinement, continuez de faire du sport, bougez » Ce matin une musique entrainante à la radio, alors je danse, je bouge mon corps, mes bras, devant la porte fenêtre ouverte sur le balcon pour respirer un bon bol d’air. Soudain je suis interrompue . . .Qui crie Madame, madame ? C’est une dame à sa fenêtre dans l’immeuble en face. Je m’arrête – Moi ? – Oui, vous. Vous vous sentez bien ? – Oui, merci – Vous etes certaine ? Je vous vois vous débattre avec sans doute un malaise. Que vous arrive-t-il ? J’appelle les pompiers ? Bon, je file continuer ma danse . . . et d’autres dans la salle de bains. Pas de fenêtre, pas de vis à vis. J’ai tout de même une oreille qui traine prête à sursauter au moindre « pin-pon ». Ah ! La bienveillance de mes voisins peut parfois être un obstacle à mon bien-être . . .

Tous les « Billets d’humeur et d’humour d’une confinée » de Colette ICI

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Avec ces brins de muguets l’AAAHV vous souhaite beaucoup de bonheur.

JOYEUX PREMIER MAI !

LE MOIS DE MAI

IL EST REVENU LE JOLI MOIS DE MAI
AVEC LUI LE TEMPS DU MUGUET
AU REVOIR LES GIBOULÉES DE MARS
ADIEU LES CALANDES D’AVRIL

LES JONQUILLES COMMENCENT A DEFLEURIR
POUR LAISSER LAPLACE ACES JOLIES CLOCHETTES
LE SOLEIL EST ATTENDU PAR CES PETITES FLEURETTES
LEUR PARFUM DÉLICAT VA NOUS RAVIR.

CETTE FLEUR PORTE BONHEUR AUX AMOUREUX
LE PREMIER MAI, LE JOUR DU MUGUET
CHACUN DEVRAIT EN RECEVOIR UN BRIN
QUE CE SOIT DU MUGUET COMME DU BONHEUR .

Josette Vandas

 

 

 

 

une photo de ma composition avec les fleurs du jardin…

 « un peu de douceur en ce 1er Mai si particulier ».

Agnès Dagrenat

 

 

 

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Chacun sait que le chat a un ennemi héréditaire. Justement Ludwig connaît Bébert et son chien Adolf, un de ces couples bêtes et méchants dans lequel l’un ne vaut pas mieux que l’autre.

Prêtons-lui  la plume.

Gudule

Bébert habite au 6° au milieu de voisins qui le regardent de travers depuis qu’il a adopté un berger allemand nommé Adolf. Ainsi il a voulu montrer non pas qu’il était le plus fort, mais qu’il ne craignait plus les quolibets et les insultes des petits sauvageons du quartier. Avec son molosse, il est enfin quelqu’un ! Adolf est devenu agressif envers la race féline depuis le jour où il a avancé son museau vers un chat sournois qui de sa patte aux griffes acérées lui a transformé la truffe en une chose sanglante. Adolf est en guerre !!!

Comme tous les soirs, en sortant de l’immeuble, Bébert lui ordonne : « cherche » pour l’exciter car il sait que la plupart de ses voisins possèdent un chat. Adolf a déjà repéré dans la pénombre deux silhouettes suspectes et il attend avec impatience que son maître le libère pour sa course quotidienne ; Il va donner une leçon à ces minets. Lorsque le mousqueton le lâche, il s’élance vers ses deux cibles qui sont en train de se faire des câlins et émettent des miaouuuuuu impudiques. Je vais leur faire voir qui je suis, pense-t-il. Le chat de Mme Huant et sa compagne Hulotte voient  en même temps le justicier Adolf surgir sous la tonnelle, bavant de rage et ils détalent ensemble. Les deux chats savent comment échapper aux chiens, ces bâtards qui ne savent pas grimper aux arbres. On peut même dire qu’ils ont un sérieux entrainement vu le nombre important de Médor et Cie qui leur ont permis d’améliorer leurs performances. Ils savent que leur fuite les conduit vers la clôture dans laquelle se trouve un trou bloquant tout poursuivant. Ils se faufilent sous le grillage et un marronnier centenaire leur offre le salut.

Sauvés ! Ils sont au parc Pouillle.

Après avoir repris leur souffle et mis de l’ordre dans leurs idées, ils comprennent  qu’ils ne sont pas si mal que cela sur le marronnier.

Miaouuuuu, miaouuuuuuu !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Adolf, en aboyant sa hargne, jure que la prochaine fois, il fera preuve d’une stratégie plus rigoureuse. Puis, en pensant à son maître, il repart sachant ce qui l’attend.

Écrit par Ludwig

Suite => Épisode 19

Tous les épisodes du « Chat de Madame Huant » ICI

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Voici un site où vous pouvez vérifier directement votre périmètre autorisé (à partir du 11 mai 2020) de 100km autour de votre domicile. Il est très sollicité, donc il faut être patient pour avoir les réponses.

Cliquez sur le lien ci-dessous et introduisez votre adresse :

https://carte-sortie-confinement.fr/index2.php

Vous obtiendrez une carte comme celle-ci.